Le test absolu de l'authenticité de la foi
Jeudi 08 Novembre 2012
FOI PRATIQUE EXIGÉE (10)
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Le test absolu de l’authenticité de la foi
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q 1 Timothée 4 : 10
« 10 En effet, si nous peinons et luttons, c’est parce que nous avons mis notre espérance dans le Dieu vivant qui est le Sauveur de tous les humains, et surtout de ceux qui croient. »
En somme, la foi biblique authentique ne saurait être exemptée de combats et de souffrance (Jean 16 : 33 ; Philippiens 1 : 29 – 30). Il convient donc de se poser les bonnes questions si, en tant que croyant, tout nous réussit… en tout temps, et en tout lieu…
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Ah ! Ces traditions à la vie dure !
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q Galates 2 : 20
« 20 J’ai été crucifié avec Christ ; et si je vis, ce n’est plus moi qui vis, c’est Christ qui vit en moi ; si je vis maintenant dans la chair, je vis dans la foi au Fils de Dieu, qui m’a aimé et qui s’est livré lui–même pour moi. »
Qu’elles viennent de la Loi mosaïque ou de nos différentes cultures, les traditions, observées en plus du seul ÉVANGILE de Jésus-Christ, qui m’octroie Sa grâce au moyen de Son sacrifice à la croix et qui, de la sorte, me sauve, pour l’éternité, annulent purement et simplement l’œuvre de rédemption qui Lui a coûté Sa vie, puisqu’il est écrit :
« 21 Je ne rejette pas la grâce de Dieu ; car si la justice s’obtient par la loi, Christ est donc mort en vain. » (Verset 21)
Quelle folie de rejeter l’amour absolu, inconditionnel et éternel de l’Éternel des cieux, en s’attachant à des traditions qui, jamais, ne sauvent mais qui, au contraire, placent à nouveau leurs pratiquant sous la malédiction liée, soit à la Loi mosaïque, soit à nos traditions culturelles !
En plus, ce mélange de valeurs (Évangile + traditions) déchoit absolument de la grâce et, ultimement, sépare de Christ, selon qu’il est écrit :
« 4 Vous êtes séparés de Christ, vous tous qui cherchez la justification dans la loi ; vous êtes déchus de la grâce. 5 Pour nous, c’est de la foi que nous attendons, par l’Esprit, l’espérance de la justice. » (Galates 5 : 4 – 5)
N’est-ce point là un passage crucial par rapport à la perte du salut, après l’avoir obtenu, par pure grâce, au moyen de la foi, seule, en Jésus-Christ ?
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Le Dieu de toute justice parle !
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q Ézéchiel 18 : 30
« 30 Pour ma part, je jugerai chacun de vous selon sa propre conduite, je vous l’affirme, moi, le Seigneur Dieu. Changez donc de vie, détournez–vous de tout le mal que vous faites, ne laissez plus aucune faute causer votre perte. 31 Renoncez aux mauvaises actions que vous commettez, transformez vos coeurs et vos esprits. Pourquoi voudriez–vous mourir, Israélites ? 32 Vraiment je l’affirme, moi, le Seigneur Dieu, je ne veux la mort de personne. Détournez–vous du mal et vivez ! »
À Moïse, le Seigneur Dieu S’était présenté comme étant « Le Seigneur » :
« Je suis le Seigneur ! Je suis un Dieu compatissant et bienveillant, patient, d’une immense et fidèle bonté. 7 Je manifeste ma bonté envers les hommes jusqu’à mille générations, en supportant les péchés, les désobéissances et les fautes ; mais je ne tiens pas le coupable pour innocent, j’interviens contre celui qui a péché, contre ses enfants et ses descendants jusqu’à la troisième ou la quatrième génération. » (Exode 34 : 6 – 8)
Il ne sert donc à rien de se faire d’illusion en pensant qu’Il ne pourra que fermer les yeux sur les mille et un péchés que l’on peut et va commettre, sans vergogne, parce qu’Il est Amour, et parce que notre confession de foi en Jésus-Christ suffit amplement à nous disculper, pour jamais, à Ses yeux.
Prenons cet avertissement de jugement équitable au sérieux !
C. MABADA-MABAYE – Pasteur
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